La crise du Covid-19 a bouleversé toutes les catégories d’âges, touchées de près ou de loin par cette maladie. Devant cette peur grandissante, de nombreux avis émergent, ce qui augmente le sentiment d’insécurité et, par extension, l’anxiété. En plus des problématique physiques qui ont fait beaucoup parler, concernant les personnes atteintes par cette pathologie, cet article a pour but d’attirer l’attention sur la santé psychique et relationnelle des jeunes, en particulier des ados et enfants.
Une pandémie qui n’épargne personne
Une pandémie comme celle du coronavirus ne fait aucune distinction entre les individus. Elle ne prend en compte ni l’ethnie, ni l’âge, ni la classe sociale à laquelle appartient la personne. La crise vécue aujourd’hui menace de manière globale l’équilibre des individus. Comme une vague en train de tout submerger, cette crise entraîne des bouleversements internes, des drames humains, bien sûr, mais aussi des remises en questions qui peuvent être salvatrices dans certaines existences jusque alors plutôt mornes et sans réel relief.
Cette crise en dit beaucoup sur nos personnalités, que l’on ait 20 ans, 30 ans 50 ans ou +. Et même si les jeunes adultes sont relativement épargnés par cette pathologie, les enfants et adolescents en souffrent davantage. Etant donné que leur personnalité est encore en construction et qu’ils sont logiquement dépendant des adultes, ils risquent davantage de souffrir psychologiquement de la crise sanitaire traversée. D’autant que l’on sous-estime sans doute les impacts à court, moyen et long terme du Covid-19, et par extension, du confinement.
Accepter la réalité des choses malgré l’angoisse de la situation actuelle
S’il est tentant de fuir la situation en se réfugiant dans l’imaginaire, on ne peut pas toujours échapper à la réalité du monde alentour. La maladie revient parfois, tel un boomerang, qui quand elle ne touche directement pas un adolescent ou un enfant, par exemple, touche physiquement ou moralement un proche, entraîne un divorce des parents…etc.
La phrase « ajouter de la vie aux années » prend tout son sens aujourd’hui, alors que nous sommes, au moment où est rédigé cet article, en fin de crise sanitaire. Une crise comme celle-ci déforme, parfois exagérément, les cloisons d’une réalité pas aussi sombre qu’on pourrait l’imaginer. Alors, plutôt que de vouloir changer à tout prix notre environnement extérieur, ou le subir, pourquoi ne pas agir au niveau individuel ?
Nous pourrions alors nous recentrer sur les amis, la famille. L’idée de se réunir, de positiver les choses, et se sublimer pour réaliser de nouveaux projets, pratiquer une nouvelle activité, peut-être une solution très intéressante pour sortir de la noirceur des événements, et de la dramaturgie parfois excessive de nos situations personnelles.
S’il s’agit d’un enfant ou d’un adolescent perturbé par la crise d’aujourd’hui, il est important de conserver, en tant que parent ou tuteur légal ( ou thérapeute ), à la qualité de son cadre de vie. Ce qui lui permettra d’apaiser ses angoisses, et de se sentir mieux dans sa peau. Et vous, en tant qu’adultes, comment vous sentez vous par rapport à ce que nous vivons actuellement et les conséquences à venir dans les mois et années à venir ? N’hésitez pas à réagir dans les commentaires. Merci pour votre lecture.
Eric, créateur du site aidefichesconcoursasap.com